10 métiers pour aider les autres

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Vous souhaitez aider les autres à se sentir mieux que cela soit physiquement ou moralement ? Que l’on parle de santé, de confort, ou d’épanouissement professionnel ou personnel, il existe une multitude de métiers permettant d’apporter un soutien précieux aux autres : en voici dix !

Quoi de plus agréable et gratifiant que de sentir utile dans son travail ? La quête de sens tend de plus en plus à affiner les choix de carrière, notamment dans le cadre d’une reconversion où plus que jamais les Français souhaitent exercer un métier valorisant qui leur permettra de s’épanouir pleinement. Et si cet épanouissement passait par une profession offrant l’opportunité d’apporter une aide précieuse à des personnes d’horizons divers ? Voici 10 métiers qui vous permettront d’aider les autres au sens large !

1. Auxiliaire de vie sociale (AVS)

L’auxiliaire de vie intervient au domicile des personnes dépendantes ou en situation de perte d’autonomie (personnes âgées ou en situation de handicap notamment) pour les assister dans les gestes de la vie quotidienne et les sortir d’un certain isolement social. Selon l’état de santé de chaque personne, elle pourra préparer et administrer ses repas, l’aider à réaliser sa toilette, l’accompagner pour ses démarches administratives ou ses diverses sorties à l’extérieur. Le soutien apporté à la personne dépendante n’est pas uniquement physique et sanitaire. Comme son nom l’indique, l’aspect social du métier est primordial et l’auxiliaire apporte bien souvent un réconfort non négligeable à la personne avec qui elle pourra nouer un lien très fort à force de visite régulière, jusqu’à parfois même devenir un membre à part entière de la famille. Le métier d’auxiliaire de vie sociale requiert de réelles qualités relationnelles, une grande résistance physique et morale ainsi qu’une bonne dose de patience face à certaines personnes aux caractères bien trempés.

Formation : le DEAES (Diplôme d’Etat d’accompagnant éducatif et social) est la formation diplômante à privilégier même si d’autres cursus sont possibles (ex : bac pro accompagnement, soins et services à la personne).

2. Infirmière

Au sein d’un établissement hospitalier, ou au domicile des personnes, l’infirmier ou l’infirmière dispense des soins visant à favoriser la guérison ou maintenir en bon état de santé les patients. A l’hôpital ou dans une clinique, elle sera sous la responsabilité d’un médecin et devra souvent gérer une équipe d’aides-soignants dans leurs missions quotidiennes. Ses interventions auprès d’un patient sont diverses et variées allant de le préparation et distribution des médicaments, aux soins courants (piqûre, prise de tension ou de température) en passant par un soutien moral qui se traduit par des échanges réguliers avec le patient et ses proches. Le métier d’infirmière implique évidemment d’avoir de solides connaissances scientifiques mais aussi une certaine forme d’intelligence sociale et des compétences relationnelles aiguisées pour mieux communiquer et échanger avec le personnel soignant ou les patient(e)s dont elle a la charge. Les journées peuvent être aussi éprouvantes que fatigantes et une force morale et physique est plus que recommandé pour exercer cette profession phare du domaine de la santé.

Formation :  Diplôme d’Etat d’infirmier au sein d’un IFSI (institut de formation en soins infirmiers).

3. Aide-soignant

L’aide-soignant assiste l’infirmière dans ses missions quotidiennes. Elle accueille les patients dans leur chambre et s’assure de leur confort et bien-être tout au long de leur séjour à l’hôpital. Elle pourra notamment les aider à se nourrir, à s’habiller, à se laver ou encore à se déplacer. A cheval sur les règles d’hygiène et de sécurité sanitaire, elle doit aussi veiller à la propreté et à la désinfection des espaces de vie. Ayant toujours un oeil attentif sur l’état de santé des malades, l’aide-soignant leur délivre les soins courants et leur apporte un soutien moral et un réconfort qui leur permettra de mieux supporter leur hospitalisation. A l’instar de l’infirmière, l’aide-soignant doit avoir un bonne condition physique, une résistance à la fatigue (travail debout, le week-end et parfois de nuit) et de solides aptitudes relationnelles.

Formation : Diplôme d’Etat d’aide-soignant (DEAS).

4. Conseiller en insertion professionnelle (CIP)

Les métiers permettant d’aider les autres et/ou de se sentir utile à la société ne concernent pas seulement le secteur sanitaire et social !  Le conseiller en insertion professionnelle aide les demandeurs d’emploi à (re)trouver un emploi via un accompagnement et un suivi personnalisé. Lorsqu’il reçoit une personne, il effectue un bilan de situation et réalise un tour d’horizon de ses problématiques en vue de trouver des solutions adéquates. Une difficulté à trouver une formation adaptée suite à un décrochage scolaire ? Des refus systématiques à chaque entretien d’embauche ? Des compétences pas assez mises en avant sur un CV ? Le conseiller en insertion professionnelle analyse la situation de départ avec le bénéficiaire, lui fournit de précieux conseils pour renforcer son attractivité sur le marché du travail et l’aide à le rendre autonome dans sa recherche d’emploi ou dans la réalisation de son projet professionnel. S’il est autant force de proposition, c’est qu’il connait parfaitement les acteurs clés de la formation et de l’emploi ainsi que les dispositifs de financement permettant le suivi d’une formation à moindre coût. Ce métier requiert de la curiosité, un goût pour le contact humain et une bonne maîtrise de l’outil informatique (logiciels bureautiques et techniques de veille et de recherche numérique).

Formation : Le titre professionnel conseiller en insertion professionnelle est sans doute la formation la plus pertinente pour exercer ce métier. D’autres cursus sont également envisageables mais un bac+2 minimum est généralement souhaité par les employeurs du domaine de l’insertion professionnelle.

5. Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants (EJE) aide les enfants à s’épanouir et à devenir de plus en plus autonomes au fil des semaines. On peut le retrouver dans les différentes structures d’accueil de la petite enfance (halte-garderie, crèche, jardin d’enfants) à organiser et animer de ateliers d’éveil et toutes sortes d’activités ludiques et récréatives favorisant le développement du langage, l’apprentissage de la propreté, des règles de la vie en société ainsi que la motricité et la sociabilisation des jeunes enfants. L’éducateur de jeunes enfants doit être doté des principales compétences permettant de travailler et de s’épanouir dans le secteur de la petite enfance : patience, pédagogie, bienveillance, sens des responsabilités et créativité. Enfin, l’éducateur de jeunes enfants doit savoir s’intégrer et trouver sa place au sein d’une équipe pluridisciplinaire : auxiliaires de puéricultures, agents de crèche ou pédopsychiatres sont autant de métiers avec qui il peut être amené à collaborer.

Formation : Le DEEJE (Diplôme d’Etat d’Educateur de Jeunes Enfants)

6. Conseiller en image

Le conseiller en image aide les personnes à se sentir mieux dans leur tête et dans leur corps. On pense forcément au relooking quand on évoque cette profession mais le conseiller en image n’intervient pas seulement sur le style vestimentaire de ses clients, il peut aussi les aider à mieux communiquer que cela soit à travers leur expression orale ou leur « body langage » ou encore les accompagner vers un changement de pensée et de comportement adapté à l’objectif souhaité. Dans un premier temps, le conseiller en image réalise un diagnostic de son client afin de lui proposer les optimisations nécessaires à une image en phase avec sa personnalité : vêtements, coiffure, posture, leadership… Rien n’est laissé au hasard ! Ses précieux conseils permettent aux clients de renvoyer l’image voulu et de retrouver confiance en eux que cela soit sur le plan personnel ou professionnel. Les qualités d’un bon conseiller en image sont le sens de l’écoute, la pédagogie (pas toujours facile de vouloir changer des habitudes prises depuis x années) et un bon sens de l’observation.

Formation : Aucun diplôme n’est obligatoire pour devenir conseiller en image, toutefois une formation dans le domaine de la beauté et du bien-être sera la bienvenue. Hormis le CAP Esthétique, Cosmétique, Parfumerie ou le CAP Coiffure, notez l’existence de formations professionnalisantes pour devenir coach ou conseiller en image.

7. Sophrologue

Le sophrologue fait partie des métiers du bien-être qui ont la côte en ce moment, notamment dans le cadre d’une reconversion. Il faut dire que les Français sont toujours plus nombreux à s’intéresser aux différentes méthodes naturelles permettant de (re)trouver un meilleur équilibre de vie, d’être plus à l’écoute de leur corps et de se débarrasser de certains maux du quotidien tels que le stress, l’anxiété et les troubles du sommeil et les insomnies qui peuvent parfois en découler. Les raisons de pousser la porte d’un cabinet de sophrologue sont donc diverses : se préparer à un accouchement, volonté d’arrêter de fumer, de mieux dormir la nuit ou d’apprendre à mieux gérer ses émotions que cela soit au travail ou dans sa vie de tous les jours.

Le rôle du sophrologue va être de diagnostiquer les maux du patient et de l’aider à trouver en lui les ressources qui lui permettront de se défaire des problèmes rencontrés. Ses techniques sont variées mais se basent notamment sur des exercices de respiration, de méditation et de stimulation du corps. Son travail ne se substitue pas à celui d’un médecin : ses interventions permettent d’aider ses patients à se sentir mieux, à mieux vivre certaines situations et événements difficiles mais pas de les guérir s’ils sont atteints d’une maladie par exemple.

Le travail du sophrologue est bien souvent gratifiant, et c’est toujours réconfortant de voir ses patients se transformer et adopter une démarche plus positive et se sentir mieux au fil des séances. Qualités d’écoute, attitude respectueuse et bienveillante et une bonne connaissance de la psychologie et de l’anatomie humaine sont les principales compétences requises pour devenir sophrologue.

Formation : Aucun diplôme requis ni formation obligatoire pour pouvoir exercer en tant que sophrologue, néanmoins le titre professionnel de sophrologue (niveau II) ou une autre formation en sophrologie est évidemment recommandé pour pouvoir être crédible et suffisamment compétent pour vraiment aider sa clientèle.

8. Décorateur d’intérieur

Le décorateur d’intérieur aide les gens à se sentir bien chez eux en leur proposant des espaces intérieurs conformes à leurs goûts et à leurs attentes. Passionné(e) de décoration et d’aménagement, le décorateur ou la décoratrice d’intérieur étudie d’abord les besoins de ses clients, établit un devis des travaux et commence à dessiner à la main dans un premier temps si nécessaire puis très rapidement à l’aide d’un logiciel de CAO (Conception Assistée par Ordinateur) pour avoir un rendu virtuel du résultat envisagé. Si les clients sont séduits par les propositions, les travaux pourront alors débuter et le décorateur d’intérieur devra parfois faire appel à des prestataires extérieurs pour les mener à bien. Le métier de décorateur d’intérieur implique d’avoir la fibre commerciale, un très bon relationnel et bien sûr un sens aiguisé de l’esthétique en plus d’une certaine créativité permettant de dépasser les contraintes techniques et budgétaires.

Formation : De nombreux organismes de formation pour adultes proposent des formations de décorateur d’intérieur à distance ou en présentiel. La durée de la formation varie selon votre rythme d’apprentissage : une formation de décorateur d’intérieur peut ainsi durer 6 mois en mode intensif comme se faire entre 1 ou 2 ans pour les personnes qui n’ont que (très) peu de temps à y consacrer par semaine.

9. Diététicien

Le diététicien aide les gens à mieux manger grâce à une alimentation équilibrée et parfaitement adaptée à leur état de santé, à leurs goûts, à leur âge et plus largement à leurs besoins. Conscient du rapport étroit entre la nourriture et la santé physique et morale, le diététicien concocte des régimes alimentaires prenant en compte les caractéristiques de chaque patient (surpoids, maigreur, diabète, femme enceinte…) afin de les accompagner vers une meilleure hygiène de vie et surtout une meilleure santé. Le diététicien peut exercer en libéral mais aussi dans des établissements allant de la clinique à l’hôpital en passant par la maison de retraite. Au sein de ces structures, il devra proposer des menus équilibrés en veillant aux contre-indications, aux régimes alimentaires et aux allergies des résidents.  Le diététicien doit être à l’écoute et bienveillant pour ne pas culpabiliser les patients, faire preuve de pédagogie et d’inventivité pour concocter des régimes alimentaires susceptibles d’être adoptés facilement par ces derniers.

Formation : Le BTS Diététique à distance ou en présentiel est la formation phare pour devenir ou se reconvertir en tant que diététicien. Le Bachelor génie biologique peut également faciliter l’accès à l’emploi. Ces cursus vous permettront d’acquérir de connaissances assez poussées en biochimie, biologie et en nutrition ainsi que des compétences en techniques culinaires.

10. Agent de sécurité incendie

L’agent de sécurité incendie assure avant tout un rôle de prévention et de sensibilisation. Au sein d’un bâtiment recevant du public (magasin, centre commercial, hôpital), l’agent de sécurité incendie est chargé d’assurer la sécurité des biens et des personnes. Le risque incendie est sa principale préoccupation. Il devra notamment effectue des rondes de prévention et vérifier que la matériel incendie est bien en bon état de fonctionnement tout en ne manquant pas de signaler (et corriger si possible) toute anomalie ou comportement suspect. Formé aux gestes de premiers secours, il pourra aussi assurer les gestes de premiers soins ou porter assistance à une personne blessée ou ayant fait un malaise. En cas de départ de feu, l’agent de sécurité incendie déclenche l’alarme, prévient et guide les secours et procède à l’évacuation du bâtiment en veillant à ce qu’aucune personne ne soit délaissée durant l’opération. Le poste d’agent de sécurité incendie demande d’être réactif, calme et de faire preuve de sang-froid en toute circonstance. Trois autres qualités seront bien utiles pour exercer ce métier : la pédagogie (pour former le personnel), un bon relationnel (pour mieux communiquer avec les collègues ou le public) et une excellente condition physique (marche régulière et station debout prolongée ).

Formation : Le diplôme SSIAP1 (Service sécurité incendie et assistance aux personnes (SSIAP) est la formation à suivre pour devenir agent de sécurité incendie. Chaque niveau SSIAP permet de monter en responsabilités : chef d’équipe (SSIAP2) et chef de service (SSIAP3).

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